sábado, 25 de dezembro de 2010

C´est là que la dispute avec ma femme a commencé

Ma femme s'est assise sur le sofa près de moi pendant que je zappais avec la télécommande.Elle m'a demandé : Qu'est-ce qu'il y a sur la télé ?
J'ai répondu : De la poussière.
C'est là que la dispute a commencé.


Ma femme hésitait au sujet de ce qu'elle voulait pour notre prochain anniversaire Elle dit : Je veux quelque chose qui a du punch et qui passe de 0 à 130 en l'espace de 3 secondes.   Je lui ai acheté une balance.
C'est là que la dispute a commencé ... 


La tondeuse à gazon est tombée en panne, ma femme n'arrêtait pas de me demander de la réparer.Mais, j'avais toujours autre chose à faire : ma voiture, la pêche, les copains...
Un jour, pour me culpabiliser, je l'ai trouvée assise sur la pelouse occupée à couper l'herbe avec des petits ciseaux de couture. J'ai alors pris une brosse à dents et je lui ai dit :
Quand tu aurasfini de couper la pelouse, tu pourras balayer l'entrée?
C'est là que la dispute a commencé ...



Ma femme se regardait dans un miroir.Elle n'était pas très contente de ce qu'elle voyait. Elle me dit « Je me sens horrible ; j'ai l'air vieille, grosse et laide. J'ai vraiment besoin que tu me fasses un compliment sur ma personne! »
Je lui ai répondu : « Ta vision est excellente ! »
C'est là que la dispute a commencé ... 

J'ai amené ma femme au restaurant. Je commande un steak saignant. Le serveur me dit : « Vous n'avez pas peur de la vache folle ? »
«Non, elle est capable de commander elle-même !»
C'est là que la dispute a commencé...


Ma femme et moi étions à une réunion d'anciens de son école. Il y avait un homme complètement saoul, buvant verre après verre.Je demande à ma femme « Tu le connais? » « Oui », dit-elle en soupirant « Nous sommes sortis ensemble. Il a commencé à boire quand nous nous sommes séparés. Il n'a jamais cessé depuis »
Je lui répondis « Qui aurait pu penser que l'on pouvait fêter ça si longtemps ?! »
C'est là que la dispute a commencé ... 


En arrivant à la maison hier soir, ma femme me demande de la sortir dans un endroit cher.  Je l'ai amenée à la station-service.
C'est là que la dispute a commencé ...


Au supermarché, j'ai demandé à ma femme si nous pouvions prendre une caisse de bière à $ 28.00. Elle me dit non, et, sans me demander mon avis, elle se prit un pot de crème revitalisante pour la peau à $ 15.00.
Je lui fis remarquer que la caisse de bière m'aiderait plus à la trouver belle que son pot de crème.
C'est là que la dispute a commencé ...


L'autre jour, j'ai demandé à ma femme où elle désirait aller pour notre anniversaire. Elle me répond : "Quelque part où ça fait longtemps que je ne suis pas allée »
Je lui ai offert d'aller dans la cuisine.
C'est là que la dispute a commencé ... 

segunda-feira, 13 de dezembro de 2010

Rue 89: Les bonnes manières françaises...

Le site www.rue89.com, d´information générale et avec du bon sens critique, publie aujourd´hui un aperçu des conseils donnés aux mangeurs de fish and chips et de hamburgers dans les guides de tourisme sur la France. Très instructif, drôle, et finalement bien représentatifs de certaines façons de faire des français.
Voici le link http://www.rue89.com/2010/12/13/les-bonnes-manieres-francaises-selon-les-guides-de-tourisme-180187, bonne lecture!

segunda-feira, 6 de dezembro de 2010

Mario Monicelli se suicide à 95 ans

Par Philippe Lohéac, délégué général


Un homme, intelligent, lucide, mais malade, fatigué, se jette par la fenêtre de l'établissement hospitalier où il était en traitement.

A 95 ans, parce qu'il refusait les souffrances inapaisables d'une maladie inguérissable, un homme cultivé, libre, résolu, n'a pas d'autre choix que de plonger du haut d'un bâtiment.

Quel est le pays barbare dans lequel ce geste est la seule alternative au refus de la déchéance ? A quel siècle une telle scène se déroule-t-elle ? Nous sommes en Italie, au XXIème siècle.

Certains - qui n'y connaissent rien - parlent de lâcheté devant la mort. D'autres - pétris de mysticisme - indiquent que ce geste le condamne à l'enfer. Après tout, pourquoi pas.

Mais nous ne pouvons pas nous empêcher de penser qu'aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, dans ces pays honnis par les bonnes consciences des gouvernements français ou italien, un tel acte ne serait pas commis.

Meilleure résistance à la souffrance ?

Non ! Une loi adaptée, une porte de sortie pour chacun que l'on emprunte ou pas lorsque la fin est là, pour choisir entre une mort subie, contrôlée par les seules autorités médicales, et une mort maîtrisée par soi-même, apprivoisée, qui vient lorsque les adieux ont été faits, les choses réglées, les consciences apaisées.

Combien faudra-t-il encore de larmes de crocodiles et de drames inhumains pour que les tenants du statu quo comprennent qu'une loi de liberté est indispensable ?

Combien de victimes ? Pourvu que ce ne soit pas nous. Pourvu que ce ne soit pas nos amours. Pourvu que ce soit eux !